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11/11/2007

"Sheh !" dans Le Mag du Val d'Oise (novembre 07)

Sheh ! Bien fait pour toi !

C'est un témoignage émouvant que le livre de Hacina zermane, qui vit à Gonesse, en collaboration avec la journaliste Myriam Mascarello. Celle d'une femme atteinte du sida qui "lutte contre toutes les croyances mortifères, contre tous les discours qui endorment et retardent le combat pour la vie" comme le dit si bien dans sa préface la comédienne Line Renaud. Editions Des femmes - Antoinette Fouque

Souvenirs de Juliette Drouet (Gérard Pouchain) dans Historia de novembre 07 (A.W.)

Souvenirs 1843 - 1854 de Juliette Drouet (collectés par Gérard Pouchain)

Des femmes, 333 p., 13 E

En 1833, à 33 ans, Juliette Drouet abandonne sa carrière théâtrale pour se vouer exclusivement à son amant, Victor Hugo, qu'elle accompagne en Espagne et dans les Pyrénées, puis dans ses exils à Bruxelles, Jersey et Guernesey. C'est l'écrivain lui-même qui lui demande de rédiger le récit de leurs voyages. Elle décrit patiemment les paysages aperçus des fenêtres des diligences. Elle réalise des compte-rendus circonstanciés, monotones, purement descriptifs, y compris lorsqu'elle couche sur le papier ses souvenirs de pensionnat, qui doivent aider Hugo à rédiger l'un des chapitres des Misérables ou lorsqu'elle raconte heure par heure l'insurrection de 1848. Sa plume, asservie à l'amour de sa vie, erre sans fantaisie et sans perspicacité. A.W.

09/11/2007

Maison des Babayagas : l'idée de départ

therese_clerc_200.jpgLa Maison des Babayagas... ou comment monter sa maison de retraite autogérée
Kit militant Ecorev dimanche 11 juillet 2004

http://1libertaire.free.fr/maisonderetraiteautogeree.html

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Un des effets de la canicule meurtrière de l’été 2003 aura été l’heure de gloire qu’ont connue les maisons de retraite dans les médias... Une occasion inespérée de prendre conscience de la misère de ces lieux où se trouvent claquemurées les personnes âgées. L’occasion de voir aussi que ces lieux connaissent des alternatives fleurant les expériences communautaires des années 70.
Animée par l’envie de vivre leur vieillesse tout en prolongeant leurs vies personnelle et militante, et par la volonté de ne pas être une charge pour leur entourage sans être pour autant coupées du monde, une poignée de femmes a décidé de créer une maison de retraite communautaire, solidaire et autogérée à Montreuil (Seine Saint-Denis) : « la Maison des Babayagas », du nom des vieilles grand-mères russes. Un peu sorcières sur les bords, les Babayagas vivaient - selon les légendes russes - dans des maisons faites de pain d’épices et de pâte d’amande, soutenues par des pâtes de poules. Elles y racontaient des histoires aux enfants qui en profitaient pour grignoter leurs maisons. Les Babayagas, fâchées de cette effronterie, dévorèrent tout crus les garnements...

Si elles ne croquent guère les enfants, les trois femmes à l’origine de ce projet - Thérèse Clerc (77 ans), Monique Bragard (72 ans) et Suzanne Goueffic (73 ans) - sont restées engagées et actives : l’une dirige la Maison des femmes de Montreuil, l’autre est peintre, la dernière aide à l’alphabétisation en qualité d’orthophoniste. Voici en quelques étapes le kit de fabrication d’une Maison de Babayagas, à l’exemple de celle de Montreuil.

Le sol, les murs : dénicher un lieu et profiter de l’ « effet canicule »

Le projet d’une maison de retraite autogérée émerge dès 1997 dans l’esprit de Thérèse Clerc, à la mort de sa mère. Mais les pouvoirs publics font la sourde oreille et estiment que cela ne saurait entrer dans leur agenda politique. Toutefois, le projet mûrit et l’hécatombe de la canicule rend les oreilles plus attentives : les Babayagas convainquent en 2003 la mairie de Montreuil d’attribuer un terrain en centre ville pour la construction de la maison. Celle-ci sera prise en charge par l’office des HLM et subdivisée en plusieurs studios autonomes loués par les résidentes. Chaque logement privatif sera d’une surface de 35m2 pour un prix n’excédant pas (a priori) 300 euros (avec possibilité de profiter des APL...). Parce qu’une maison solidaire et autogérée se doit d’être un minimum écologique, des panneaux solaires se chargeront de chauffer l’eau et l’utilisation de matériaux écologiques sera privilégiée pour la construction. Pour ce qui est de l’aspect communautaire, des pièces collectives sont également prévues (bassin d’hydrothérapie, salle polyvalente, etc.).

Les résidentes : l’hiver venu, la ruche congédie ses mâles

La maison des Babayagas est une maison de femmes. Les hommes peuvent venir y passer l’après-midi ou une nuit à l’occasion (lits accueillants d’1m40), mais ne peuvent s’y installer. Fatiguées d’une vie passée à subir les oukases des hommes ou au contraire à être à leurs petits soins, ces veuves, célibataires ou divorcées préfèrent rester entre elles et n’ont que faire des reproches de sectarisme qu’elles doivent essuyer de ce fait. Leur démarche s’inspire notamment de l’expérience du béguinage, ces femmes (les béguines) qui réfutèrent dès le XIIe siècle l’idée de toute autorité religieuse ou maritale et vécurent entre elles.

Une maison active et engagée

L’idée de la Maison des Babayagas a circulé dans la presse et les lettres ont afflué : à l’heure actuelle 50 femmes ont postulé pour seulement 16 places... Le caractère engagé du projet a naturellement orienté les candidatures : les postulantes ont un passé associatif, syndical ou politique, à l’image des initiatrices qui ont usé leurs semelles au PSU. Une fois débarrassée la vaisselle des repas collectifs, les pièces collectives laisseront donc la place à des activités culturelles ouvertes aux adhérents de la Maison des Babayagas, mais seront aussi le lieu d’activités citoyennes (alphabétisation, accueil de jeunes femmes en difficulté, échange de savoirs, etc.).

Une médiatrice extérieure pour calmer les vieilles bourriques

« Ne jamais se coucher fâchées » est un principe (qui émanerait de Saint-Augustin) que les Babayagas montreuilloises aiment à citer. La vie en communauté, le partage et la rotation des tâches n’engendrent pas seulement paix et amour... et pour éviter que les Babayagas ne se jettent à la figure leur verveine-menthe, une médiatrice extérieure leur rendra visite tous les quinze jours pour aider à une résolution des conflits non-violente. Une période probatoire de six mois laissera la liberté à celles qui le souhaiteront de quitter la Maison. Quant aux femmes qui seront touchées par une maladie dégénérative ou par la démence, elles seront orientées vers un centre médicalisé.


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Contact babayaga
Thérèse CLERC - 1, rue Hoche - 93100 Montreuil - 01 48 58 80 53 - hypatie93 chez wanadoo.fr

Sexual Politics dans Livres Hebdo du 09.11.07

9782721005625.jpgMillett Kate - Sexual Politics / trad. de l'anglais (Etats-Unis) Elisabeth Gille. Paris : Des femmes - Antoinette Fouque 2007. 350 p.

Cette critique de la société occidentale se concentre sur une dénonciation du pouvoir patriarcal et de la négation du corps féminin aux plans idéologique, anthropologique, politique et littéraire. Dans la 1ère partie, l'auteure défend l'idée que la sexualité a un aspect politique. Dans la 2ème partie, elle retrace la transformation qu'a connue la relation traditionnelle entre les sexes. Public motivé.

Colette Deblé étudiée par les Américains !! (Dalhousie French Studies, Michael Bishop, Spring 2007)

Dalhousie French Studies 78 (Spring 2007) www.dal.ca/french (Vitterio Frigerio)

A quarterly Journal Devoted To French and Francophone Literature

Colette Deblé. L'envol des femmes. Textes de Jean-Joseph Goux. Paris : Des femmes / Antoinette Fouque, 2006. 160 p.

Envol : légèreté, libération, ivresse du féminin, ici et maintenant, et à travers les siècles de notre très relative modernité. Couleur et ruissellement aussi, et délicatesse et transparence. Et, partout, révélation, nudité, surgissement épiphanique du corps, du coeur et de l'esprit de la femme. Et si couleur il y a, elle est à la fois une force, une présence, rose, rouge, jaune et verte et bleue, ocre et dorée parfois comme certaines fleurs qui nous sont offertes également, mais une présence souvent, même la plupart du temps, pailletée, bariolée, multicolore et par conséquent multiple, constellée comme cette Chevelure de Bérénice, cette symphonie galactique, dont s'inspire ce texte de Claude Simon qui, d'abord, s'intitulait Femmes. Toutes les peintures et tous les dessins de Colette Deblé, magnifiquement reproduits ici dans ce livre précieux, témoignent de l'énergie mystérieuse qui dynamise l'existence de la femme et les phénomènes où elle se trouve immergée : la lumière, la matière, l'air et le temps. La sensualité règne, subtile, grâcieuse, innée ; mais quelque chose comme une spiritualité, immanente et transcendante à la fois, flotte et plane partout où les ailes du corps féminin se déploient, élevant le matériel vers son inhérence insubstantielle. Et ceci, curieusement, malgré le désir de Colette Deblé qui la pousse à vouloir nous donner la femme dans sa présence renouvelée face à son contexte historique, temporel, dans le chatoiement de son devenir perpétuel tel que l'art des grands plasticiens l'ont évoquée. Fantin-Latour, Rodin, Chassériau, Watteau, Manet, Picasso, Da Vinci, Memling, Ishikawa, etc, etc : la liste est longue, très longue, et les nombreuses sources anonymes l'amplifient infiniment, permettant de saisir quelque chose de l'immense, sans doute, dirait Marguerite Duras, indicible identité féminine depuis la préhistoire jusqu'à nos jours. Ceci, d'ailleurs, sans mimétisme de la part de Deblé - Jacques Derrida la voyait plutôt comme "une visionnaire des corps" - , sans répétition, et pourtant puisant dans les représentations des autres un point de départ perceptif qu'elle n'efface pas tout en l'allégeant, le détachant de sa stricte et absolue historicité, l'ouvrant à une transhistoricité libératrice - à un espace plastico-ontologique où la femme sait retrouver les beautés de ses brumeuses origines. Comme dans un poème de Jeanne Hyvrard...

Les analyses que nous propose Jean-Joseph Goux sont, à tous les égards, excellents et pénètrent profondément dans la logique de ce qu'il appelle "la mélancolie universelle de la gynégraphie" (116). Le légendaire, le mythique, cela qui est plongé dans le temps humain, oui ; mais aussi "quelque chose d'inaugural" (120) en émergence chez Colette Deblé, une originalité qui est simultanément celle de l'art de Deblé et celle de la femme dans les innombrables qualités intrinsèques de son être-là à la fois vécu et atemporel. L'envol des femmes réussit d'ailleurs à nous montrer les fondements de cette mélogie gynégraphique : nous plongeons ainsi, avant d'aborder cette éclosion des quinze dernières années, dans les images, qu'accompagne également le texte de Goux, des années 1970 - 80. Des acryliques comme Voir ou Fougères ou Pacifique modèle reposent sur une poétique de la lumière rayonnante, striée, éblouissante, et de l'ombre, secrète, masquante, intime, tandis que les acryliques comme Dominicains ou Rieuses ou Thésa ou Pirat, avec leurs lumineux oiseaux de mer et leurs fleurs simples mais intensément sensuelles, se risquent dans d'autres espaces à la fois plastiques et psychiques qui, pourtant, complètent ce qui précède et préparent ce qui, à partir de 1990, suivra et continue aujourd'hui : cette vaste et inachevable aventure de la présence obscurcie et si brillamment dévoilée, peinte et dessinée, de la femme.

Michael Bishop

Bibilops !!

1er Salon des éditeurs indépendants du Quartier latin

29 novembre 07 - 02 décembre 07 Pour la première fois, une manifestation est exclusivement consacrée à des éditeurs indépendants implantés dans le Quartier latin. Ce 1er Salon des éditeurs indépendants du Quartier Latin permettra à des professionnels du livre, n’en ayant pas toujours la possibilité, d’aller à la rencontre du grand public. C’est grâce à l’accueil de la Mairie du 6e arrondissement, dans un lieu ouvert à tous, en plein cœur du « quartier du livre », que ce projet a pu devenir réalité. Quarante maisons d’édition environ, œuvrant dans des domaines très variés – Beaux livres, musique, cinéma, voyages, livres d’enfants, BD, poésie, littérature, sciences humaines… – présenteront leurs livres et revues. Un « salon de lecture » offrira à chacun, grands et petits, le plaisir de se plonger dans le livre de son choix, avant de l’acquérir peut-être, si le coup de cœur a eu lieu. Le Salon est ouvert : Jeudi 29 novembre, de 11 h à 21 h Vendredi 30 novembre, Samedi 1er décembre, de 11 h à 18 h Dimanche 2 décembre, de 14 h à 18 h

Entrée libre

Renseignements :
Brigitte PELTIER – 01 46 33 95 81 – bpeltier@noos.fr

Prix Grand Témoin de la France Mutualiste (Jury)

Composition du Jury :

Michel TAURIAC, Président du Jury (journaliste et écrivain)
Pierre BONTE (journaliste et présentateur)
Serge COURS (Président de l’Union Fédérale)
Général Gérard DELBAUFFE (Président du Souvenir Français),
Rémy ENFRUN (Directeur Général de l’ONAC)
Irène FRAIN (écrivain)
Maurice GAMBERT (Président de la Fédération André Maginot),
Yvan GLASEL (Président de La France Mutualiste)
Jacques GOUJAT (Président de la Mutualité combattante)
Nahida NAKAD (journaliste, grand reporter à TF1)
Jean-Claude NARCY (Directeur adjoint de l’information de TF1)
Christian OYARBIDE (Directeur général de La France Mutualiste)
Gonzague SAINT-BRIS (écrivain)
Jean TULARD (universitaire, membre de l’Institut).

08/11/2007

Vivre de Taslima Nasreen mise en scène Xavier Carrar du 4 au 8 décembre à Levallois

Xavier Carrar nous présente une création théâtrale "Vivre!" sur la poésie de Taslima Nasreen ( et en écho de nombreuses autres voix de poétesses telles Nadia Tuéni, Andrée Chedid, Antoinette Fouque, Olympes de Gouges...).

"Vivre!" est né de cette rencontre forte avec l'écriture poétique- politique de Taslima Nasreen;
vous trouverez ci-joint un dossier de présentation de cette création qui se fera au théâtre de l'Odyssée de Levallois-Perret.

Entre-temps l'actualité rattrape l'artistique, ainsi de nouvelles agressions ont eu lieu contre Taslima Nasreen et sa tête mise à prix.
Je travaille donc dans l'urgence de faire entendre sa voix- à chacun ses moyens et capacités: la mienne est de transmettre les Poètes et je crois qu'il est fondamental de faire entendre sa voix par tous les moyens et que la scène en est une
ainsi me voici devant vous à défendre "Vivre!" sur la poésie de Taslima Nasreen.

Par ailleurs, nous travaillons avec mon équipe à rendre ce spectacle accessible à la communauté sourde- car l'une de mes comédiennes Nelly Guyot est sourde et qu'il y a encore beaucoup à faire vis-à-vis des sourds en France-
manquant de moyen c'est un but que nous nous fixons pour la tournée que nous tentons de mettre en place pour 2008.

La Compagnie Théâtre des Hommes
La Compagnie Théâtre des Hommes est avant tout la rencontre de deux comédiens, Layla Metssitane et Xavier Carrar, fous amoureux des poètes et de la scène.
Cette compagnie est une grande folie, un choix artistique affirmé et revendiqué. Une grande folie car faire du théâtre aujourd’hui est une gageure.
« Nous faisons du théâtre pour aller à la rencontre d’hommes et de femmes de tous milieux, de toutes cultures. Notre objectif est de servir les poètes et de les porter au public sur scène. Nous vivons dans un monde qui perd sa conscience et qui souffre de ne plus entendre le souffle et parfois même le cri vivant des poètes. »
Un choix artistique affirmé car l’identité de la Compagnie Théâtre des Hommes est de trouver la meilleure adéquation entre un texte, un poète défendu et la structure qui portera son verbe tant au niveau du metteur en scène et/ou des comédiens, des partenaires et des lieux de représentations.
« Le Théâtre c’est la Lumière, la Beauté et l’Intelligence. Et les poètes, ces Fils du Ciel et de la Terre dérobant le feu aux Dieux pour le donner aux Hommes : ils sont ces héros qui gardent une foi inébranlable dans l’homme. »
Pour le poète Maïakovski, « il faut faire du théâtre d’extrême urgence ».
« Voilà notre destin, à nous comédiens, faire en sorte que les hommes portent en eux l’héritage des poètes : cette passerelle vitale d’humanité. »

Théâtre > Vivre !

Après "Palabre en Négritude", la compagnie Théâtre des Hommes revient à L'Escale pour une nouvelle pièce intitulée Vivre !, du 4 au 9 décembre. Un hymne à la liberté de vivre de la femme.

Mise en scène par le Levalloisien Xavier Carrar, cette œuvre a été écrite autour des poèmes de Taslima Nasreen. Cette pièce poétique est portée par trois voix, trois femmes, trois langues, en Français, en Arabe et dans la langue des signes.

Constituée d'articles, de portraits et de témoignages, Vivre ! fait entendre la souffrance et le combat de femmes dans le monde d'aujourd'hui. Un message qui s'adresse à toutes les femmes qui souffrent et se résume en une phrase : "Résistez car votre combat n'est pas vain, votre parole sera entendue".

Cri du cœur
Taslima Nasreen évoque la condition des femmes et dénonce leur inégalité face aux hommes, leur soumission dans l'amour et leur esclavage dans la société.
Des thèmes très forts et ancrés en elle depuis qu'elle a été condamnée à mort par une fatwa et à la prison par contumace au Bengladesh, son pays natal.

En exil depuis douze ans, elle est accusée d'avoir osé s'élever contre l'oppression des
femmes. "Je crois que je dois utiliser la littérature comme un moyen pour transmettre un message, pour dire quelque chose de plus" témoigne Taslima Nasreen. Une pièce de théâtre qui ouvre les portes de la réflexion sur la condition de la femme dans les différentes sociétés.
Un cri d'humanité, sincère et émouvant…

Vivre !
Petit Théâtre Odyssée - Escale
01 42 70 83 84
Mardi à samedi 8 décembre à 20 h
Dimanche 9 décembre à 16 h
Tarifs : 10 euros et 5 euros (TR)

Jeudi 08 Novembre 2007

Sarah Bernhardt, disponible en Bibliothèque des Voix aussi !

Ma double vie.jpgEdwige Feuillère lit
Ma double vie
de Sarah Bernhardt

2CD 27 €

Sarah Bernhardt servit le théâtre avec passion, joua Phèdre pendant quarante ans et jusqu’à sa mort en 1923, et osa, tout à la fois, peindre, sculpter, écrire, parcourir le monde et faire de sa vie de femme libre une succession d’actes éclatants et provocants.
A cinquante-quatre ans, elle écrivit les mémoires de sa vie flamboyante.
Avec la voix de Sarah Bernhardt dans Phèdre.

France 3 parle du Salon des Editeurs indépendants !!

http://www.france3.fr/

PREMIER SALON DES ÉDITEURS INDÉPENDANTS DU QUARTIER LATIN
ACTUALITÉS
Mairie du 6e arrondissement Paris
29 – 30 novembre et 1er – 2 décembre 2007__

Pour la première fois, une manifestation est exclusivement consacrée à des éditeurs indépendants implantés dans ce haut lieu de l’édition qu’est le Quartier latin.
Ce 1er Salon des éditeurs indépendants du Quartier Latin permettra à des professionnels du livre, n’en ayant pas toujours la possibilité, d’aller à la rencontre du grand public.
C’est grâce à l’accueil de la Mairie du 6e arrondissement, dans un lieu ouvert à tous, en plein cœur du « quartier du livre », que ce projet a pu devenir réalité.

Quarante maisons d’édition environ, œuvrant dans des domaines très variés – Beaux livres, musique, cinéma, voyages, livres d’enfants, BD, poésie, littérature, sciences humaines… – présenteront leurs livres et revues.
Un « salon de lecture » offrira à chacun, grands et petits, le plaisir de se plonger dans le livre de son choix, avant de l’acquérir peut-être, si le coup de cœur a eu lieu.

Rendez-vous dès le jeudi 29 novembre pour découvrir, ou retrouver, ces éditeurs indépendants.

Le Salon est ouvert :
Jeudi 29 novembre, de 11 h à 21 h
Vendredi 30 novembre, Samedi 1er décembre, de 11 h à 18 h
Dimanche 2 décembre, de 14 h à 18 h
Renseignements : Brigitte PELTIER – 01 46 33 95 81 – bpeltier@noos.fr
Entrée libre