14/08/2009
Modes et travaux aime le CD de Liane Foly aux éditions Des femmes (septembre 2009) - Par Alphonse Guillaume
Buller l'Amour...
(...)
... de la nature
Un chien bougon et une chatte sensuelle dissertent à l'heure de la sieste dans la campagne d'été. C'est Liane Foly qui prête sa voix joueuse à ce texte-lu, où la nature est reine et que Colette a écrit bien avant que nos hommes politiques soient tous "de vrais écolos" ! Ce CD a reçu le prix "Coup de coeur" de l'Académie Charles-Cros.
"Dialogues de bêtes" de Colette, éd. Des femmes, 18 euros, le CD
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02/08/2009
"Du côté des petites filles", livre phare des éditions Des femmes (1974) évoqué dans L on Top de mai 2009
L on Top
L à la page
par Axèle Lofficial
Du côté des petites filles de Elena Gianini Belotti
Editions Des femmes-Antoinette Fouque
Livre broché, couvertures semi-rigides, très bon état. 261 pages, intérieur propre.
Dernière de couverture:
"L'influence des conditionnements sociaux sur la formation du rôle féminin dans la petite enfance.
Ce livre, basé sur de très nombreuses observations d'enfants d'âge pré-scolaire et de parents, est une analyse attentive de tous les phénomènes qui fondent la différence des sexes.
Pourquoi du côté des petites filles?
Parce que ce sont elles les victimes principales d'une longue série de conditionnements dont l'auteur énumère et analyse les modalités.
Ces minuscules héroïnes, vêtues de rose, armées de poupées et de dînettes, curieuses, mobiles, téméraires. sont toujours empêchées, freinées. arrêtées...
Roman picaresque ?Epopée déçue? Elena Gianini Belotti nous en donne quelques clefs, tout en concluant que seules les qualités "humaines" sont à développer. indépendamment du sexe."
17:45 Publié dans Elena Gianini Belotti | Lien permanent | Commentaires (0)
01/08/2009
Clara Dupont-Monod identifie l'émancipation féminine des années 1970 à Antoinette Fouque (article dans Marianne du 1er au 7 août 2009)
La métamorphose d'une femme.
Son grand mérite, c'était de ne pas être conventionnelle. On pourra toujours gloser sur sa beauté, son intelligence, sa mue réussie de mannequin à chanteuse. Reste que Carla BRUNI, c'était d'abord, une vraie bombe: elle faisait exploser les codes d'une certaine bienséance. Chacune de ses histoires d'amour torpillait tranquillement l'idéal conjugal en forme de conte de fées. L'amour toujours? D'accord mais avec un garçon différent à chaque fois. Et pas des moindres, hein. Du Mick JAGGER ou rien du tout. La classe... Certes, n'importe quelle créature qui a approché de très très prêt Jean-Jacques GOLDMAN a droit à un respect absolu, de toute façon. Certes, un CV qui se résume à quelques podiums et à un kaléidoscope d'ex-conquêtes, ca ne va pas très loin. Mais c'est tout ce que l'époque nous offrait: une image, à défaut de discours structurants. En matière d'émancipation féminine, les années 70 ont eu Antoinette FOUQUE, les années 80 ont eu Elisabeth BADINTER, et les années 90... les top model. Quand on parle du minimalisme de cette décennie...
Mais au moins, celle-ci détonnait. Carla BRUNI a eu des phrases d'anthologie qui ont rendu une dignité à toutes ces épicuriennes que les bonnes moeurs condamnent. "Je préfère qu'on me traite de prédatrice plutôt que de vieux sac à puces"balançait elle quand on lui reprochait d'envoûter les hommes mariés. La grâce des garces... Sa tirade la plus célèbre elle l'a offerte à "Madame Le Figaro": "Je m'ennuie follement dans la monogamie. [..] Je suis monogame de temps en temps, mais je préfère la polygamie et la polyandrie. [...] Moi, je ne cherche pas particulièrement l'établissement des choses: l'amour et le couple ne me rassurent pas. Je ne me sens jamais en couple, pourtant j'ai un amoureux que j'aime et qui vit avec moi. C'est mon côté garçon." Warren BEATTY, sors de ce corps! C'était formidable de balancer un truc pareil! C'était au début des années 2000,. Pour nous, les filles de 30-35 ans, ça sonnait comme un slogan féministe. Encore une fois, nous ne disposions que de ça, des slogans et des images. Puisque les générations s'étaient offert la révolution, les pavés dans la mare, les raisonnement inédits, les débats les plus intéressants comme la remise en question de l'instinct maternel; puisque le combat pour l'émancipation commençait à se déplacer vers la banlieue, où la situation devenait urgente, il nous restait ce féminisme intuitif, non-politisé, indépendant de toute idéologie et, surtout, basé sur une très nette tendresse pour les garçons (peut-être était-ce la meilleure part de digestion des années précédentes...). En attendant, quelle plus belle représentante que cette aristocrate libertine, assumant un tableau de chasse exigeant? Quoi de plus libérateurqu'une fille magnifique qui joue au Don-Juan? Qui se moque du qu'en dira-t-on, offrant à toutes les gourmandes le statut de reine? Une fille plus hétérosexuelle que Monique WITTING et moins rancunière que Valérie SOLANAS. Qui préfère la pratique égalitaire aux harangues, et la répartie cinglante à la radicalité tapageuse. Une bonne vivante, quoi.
Et puis, le retournement total. Il aura fallu une alliance et l'attrait du pouvoir pour que tout s'éffondre. Aujourd'hui, Carla BRUNI est une dame. Pas n'importe laquelle: la première Dame de France. Glups. Elle porte des taileurs beiges, des talons, plats. Elle est coiffée comme Nana MOUSKOURI. Dans les magazines, elle fait de splans de table pour les prochains dîners diplomatiques. Elle commence chaque phrase par "mon mari". Elle prend le thé avec des responsables de "Femme actuelle" pendant que Monsieur travaille. Celle qui sacrait les gourmandes en reines les a délaissées pour n'en retenir qu'une seule: la Reine d'Angleterre, à qui elle fait des courbettes. Résultat: on trouve Angela MERKEL sexy! Carla BRUNI est la victime du "syndrome Clotilde COURAU", du nom de cette actrice espiègle qui a épousé le prince Emmanuel-Philibert de SAVOIE. Prenez une fille bien dans sa peau, rigolarde et effrontée. dans la vie, elle s'amuse. Voire elle fait figure d'exemple par son irrévérence revigorante, son mérpis des conventions. Faites-lui rencontrer un homme-qui-a-des-responsabilités. L'ingénue se transforme alors en bonne bourgeoise lisse, soumise au protocole, obéissant à des règles de bienséance que ne renierait pas le "Guide de la bonne épouse", publié en 1960. Oubliées, la déconne, la liberté! Place à la béatitude conjugale surjouée...
Où est passée Carla BRUNI? Où est cette séductrice qui osait dire: "Les maris ne se volent guère, on sait les garder ou pas" ? Elle s'est évaporée. Assagie? A voir: la sagesse n'est pas une tare, et s'accompagne souvent d'une lucidité nouvelle. La Walkyrie des traversins a juste cédé la place à une irréprochable femme d'intérieur, qui précise qu'elle n'enregistrera aucun disque "jusqu'à la fin du mandat de mon mari". Finalement, elle a quand même sorti un album. Promesse trahie, donc, ce qui est bien le signe que le sarkozysme commence à rentrer. Au passage, elle offre une belle incarnation du conformisme niais à ds années-lumières de la femme qu'elle fut - ou prétendit être. Parce qu'il y a frocément un moment où l'on se dit: "Tout ça pour ça!" Toutes ces déclarations fracassantes pour aboutir à un "Bon courage chouchou" Parmi ces déclarations, il y en avait une: "Je n'ai pas envie de devenir une dame." Raté. Dans la foulée, le message livré est déprimant: la révolution attendra. Le mari est l'avenir de la femme. Vive les contes de fées. Non, pardon: vive les contes mais sans les fées, ces jolies célibataires qui volettent... >>
Source: Clara DUPONT-MONOD in "Marianne", semaine du 1er au 07 Août 2009, page 90.
17:17 Publié dans Antoinette Fouque | Lien permanent | Commentaires (0)
21/07/2009
ACTUALITE : Fanny Ardant et Gérard Depardieu, captivants dans La Haine de Jacques Offenbach : Saviez-vous qu'ils avaient AUSSI enregistré un livre audio aux éditions Des femmes ?
et Gérard Depardieu
interprètent
La Bête dans la jungle
de James Lord
D'après Henry James
Version française de Marguerite Duras
Un homme, une femme, six tableaux, six rencontres, un secret en partie oublié, l’attente d’un événement terrible, une histoire d’amour qui se dit à sens unique… tandis que le temps passe. A l’ironie implacable et subtile de la nouvelle d’Henry James, s’ajoute la limpidité de l’adaptation théâtrale de James Lord, laissant discrètement entrevoir la force du non dit, implicite ou nié. Le secret et la révélation, la conscience de soi et la perception de l’autre, le souvenir et l’oubli.
18:04 Publié dans Bibliothèque des voix, Fanny Ardant, Gérard Depardieu, Henry James | Lien permanent | Commentaires (1)
Le Choix des Dames : Colette Deblé en Saxe-Anhalt
Le Choix des Dames : Le Pouvoir des Femmes
Une française découvre la Saxe-Anhalt
Expositions entre 2009 et 2010 :
Musée de Dessau
MDR à Magdebourg, L'orangerie et la Chapelle de la cathédrale de Naumbourg, L'Abbaye de Quedlingbourg, Le Gleimhaus d'Halberstadt, le Musée du cloitre de Stendal, la Bibliothèque à Bourg, la Crypte et la chapelle de la cathédrale, la Galerie Willi Sitte, la Fondation de la culture Ben zi bena à Mertsebourg, et Berlin, dernière exposition fin 2010, à la représentation permanente de Saxe-Anhalt au près du Bund.
Catherine II la Grande, Louise d'Anhalt-Dessau, Adelheid, Dorothea, Maria, Mathilde, toutes Abesses de Quedlinbourg, Henny Porten, actrice du cinéma muet, Elisabeh Forster-Nietzche, Dorothée Christiane Erxleben, première femme médecin, Anna louisa Karch, poète, Frieda Menshausen-Labriola, peintre, Brigitte Reinman, écrivain, Catherine von Bora, épouse de Martin Luther.
Toutes originaires de Saxe-Anhalt, dessinées, lavissées, peintes dans le projet d'essai plastique des représentations de femmes dans l'histoire de l'Art. Projet commençait en 1990 pour un nombre non fini de de lavis...
17:54 Publié dans Colette Deblé | Lien permanent | Commentaires (0)
16/07/2009
Agathe Fourgnaud salue la Bibliothèque des Voix d'Antoinette Fouque : Le Prix Charles-Cros de Macha Méril remarqué (Le Point du 16 au 23 juillet 2009)
Le Point du 16 juillet 2009, page 75

11:59 Publié dans Antoinette Fouque, Bibliothèque des voix, Macha Méril | Lien permanent | Commentaires (0)
09/07/2009
Trois étoiles pour "Tableau d'honneur" dans Valeurs actuelles (par Philippe Barthelet, 9 au 16.07.09)


17:33 Publié dans Guillemette Andreu | Lien permanent | Commentaires (0)
08/07/2009
Gwenaëlle Abolivier sur France inter évoque "Union ouvrière" de Flora Tristan (8 juillet 2009)
Sur France inter, par Gwenaëlle Abolivier
du lundi au jeudi de 21h05 à 22h

mercredi 8 juillet 2009 - "Lettres féminines"
Chers Auditeurs, Chers Filles et Fils d’Ulysse, Chers Amoureux des lettres voyageuses, Ce soir, nous allons nous pencher sur les lettres de femmes ! Lettres féminines, lettres engagées mais aussi lettres d’hommes qui déclarent leur amour aux femmes. C’est Flora Tristan, militante de la cause féministe qui ouvre le bal, puis Elisabeth Badinter pose sa voix sur des lettres d’Isabelle de Bourbon-Parme, Romain Gary s’adresse à la femme qu’il aime, tandis que Sonia Rykiel et Régine Desforges s’écrivent en bravant tous les tabous. Chers Filles et Fils d’Ulysse, bienvenus à tous, ce soir, vos « Correspondances » sont au féminin pluriel ! Amicalement, Gwenaëlle Abolivier, votre épistolière de l’été.
Les lettres
- extrait de "L'Union ouvrière", Flora Tristan (Edition des femmes, 1986)
- Isabelle Bourbon-Parme à l'archiduchesse Marie-Christine (in "Je meurs d'amour pour toi...lettres à l'archiduchesse Marie-Christine 1760-1763", Isabelle de Bourbon-Parme, Tallandier, 2008), lu par Elisabeth Badinter
- Sonia Rykiel à Régine Desforges (in "Casanova était une femme", Régine Desforges, Sonia Rykiel, Calmann-Lévy, 2006)
- Romain Gary à Christel Kryland (lettre inédite fournie par le musée des lettres et des manuscrits de Paris)
- lettre inédite extraite du roman "Sans voix", d'Hafsa Zinaï-Koudil, Plon, 1997.
Les extraits sonores
- Film "L'auberge espagnole", Cédric Klapisch
- Film "Van Gogh", Maurice Pialat
Le reportage
Gwenaëlle Abolivier a rencontré Estelle Gaudry, au Musée des lettres et des manuscrits, 8, rue de Nesle, dans le XIème arrondissement de Paris.
Echanges autour d'une lettre de Romain Gary...
photo : Flora Tristan
programmation musicale
- > Olivia Ruiz : Elle panique
- > Patti Smith : Pastime paradise
- > Iko et Marc Collin : Addio
- > La Grande Sophie : Quand le mois d'avril
- > Anna Ternheim : Leaving on a mayday
- > Helen Merril : Why don't you do right
- > Autour de Lucie : Je reviens
Flora Tristan
Union ouvrière
Établi et présenté par Daniel Armogathe et Jacques Grandjonc
360 p. - 15 € - 1986
L'Union Ouvrière est l'œuvre maîtresse de Flora Tristan (1803-1844). Elle fut publiée il y a plus de 140 ans grâce à une souscription qui la conduisit à un porte-à-porte militant auprès des personnalités comme de simples travailleurs et travailleuses de son temps.
Pour faire entendre cet appel à la constitution de la classe ouvrière, elle accomplit un tour de France où son enthousiasme généreux est mis à rude épreuve et au bout duquel, seule et épuisée, elle meurt. Elle avait quarante et un ans.
L'Union ouvrière est le premier manifeste politique cohérent d'une femme qui ne dissocie pas la lutte des femmes de la lutte ouvrière. C'est aux plus démunies, aux plus exploitées d'entre elles qu'elle adresse cette apostrophe qui nous touche encore près d'un siècle et demi après : “Mes sœurs, je vous jure que je vous délivrerai”. C'est aussi, quelques années avant Marx et Engels, l'un des premiers appels à l'union internationale de la classe ouvrière.
L'intérêt toujours renouvelé qui s'attache à cette belle figure du mouvement socialiste, imposait qu'on fasse toute la lumière possible sur un texte dont la richesse se mesure aux commentaires qu'il a suscités et aux espérances qui l'accompagnent depuis sa parution.
Daniel Armogathe est historien du féminisme. Membre du C.E.F.U.P., il enseigne l'histoire de la pensée sociale et politique contemporaine à l'Université d'Aix-Marseille.
Jacques Grandjonc est germaniste et historien. Professeur à l'Université de Provence, il s'est appliqué à l'histoire des relations du mouvement ouvrier allemand, à la pensée sociale et politique française au milieu du XIXe siècle.
12:53 Publié dans Flora Tristan | Lien permanent | Commentaires (1)
06/07/2009
GRAND dossier Lou Andreas-Salomé dans Philosophie Magazine : le moment pour se replonger dans les livres des éditions Des femmes (Philosophie Magazine N°31, juillet-août 2009)




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THEÂTRE : La cape magique de Lou Salomé - Préface de Stéphane Michaud - Un nain s'introduit à minuit, l'heure des esprits, au domicile d'une petite fille dont les parents sont sortis. Elle espérait ouvrir à une fée... dont elle attendait qu'elle donne vie à sa poupée. Mais, puisqu'il proteste de pouvoirs magiques et promet de réaliser son désir d'animer la poupée, elle lui accorde de rester. L'autorisation est confirmée par la famille lorsqu'elle vient à rentrer. Le mystère plaide en faveur du nain : il se dit d'antique lignage, prétend entretenir une intime complicité avec le monde invisible. Bientôt il se vantera de disposer d'une cape magique, qui rendrait invisible.
Première phrase : LA PETITE FILLE, se réveillant d'un coup. Minuit ! L'heure des esprits !

13:25 Publié dans François Guéry, Lou Salomé, Philosophie, Psychanalyse, Stéphane Michaud | Lien permanent | Commentaires (0)
05/07/2009
Irène Frain fait honneur à la Bibliothèque des Voix sur France inter (émission de Laurent Segui, 5 juillet 2009)
France inter Dis, tu mets dans ta valise (Présentateur Laurent SEGUI) 5 juillet 2009
Sujet
L'invitée de l'émission est l'écrivain Irène Frein [phon]. Son parcours est retracé. Extrait sonore d'un livre audio qu'elle a publié au éditions des Femmes. Elle justifie ce produit par le fait que cet éditeur a été pionnier dans la publication de livres audio destinée aux personnes ayant des problèmes de vues. Elle a été touchée par le développement de cette démarche qui permet de mettre en avant la lecture.
Irène Frain
Au royaume des femmes
lu par l'auteure
1 CD MP3 27 €
Le dernier roman d’Irène Frain s’appuie sur une histoire vraie, celle de Joseph Francis Rock, illustre figure de la science botanique américaine et de la revue National Geographic. Irène Frain a mené l’enquête sur de ce personnage, autodidacte de génie, explorateur passionné, dont la quête principale commença dans les années 1920. Parcourant la Chine et le Tibet, il est intrigué par le récit d’un voyageur et par de vieux textes impériaux faisant état de l’existence d’une montagne plus haute que l’Everest, la montagne Amnyé Machen, au Tibet. Celle-ci abriterait une étrange tribu matriarcale, ultime vestige du peuple des amazones… le « Royaume des Femmes », dirigé par la « Reine des Femmes ».
Cette quête devient pour Rock une véritable obsession… mais s’achève par un échec. Il doit faire demi-tour à 50 m du but, et comprend que le Royaume des Femmes a sans doute été détruit. La Reine des Femmes existe-t-elle encore ? N’est-ce pas plutôt un personnage mythique ? Pourquoi cette quête prend-elle tant d’importance pour Rock ? Le talent de l’enquêtrice et celui de la romancière se conjuguent pour rendre cette histoire passionnante : le mystère, c’est tout autant ce royaume mystérieux que le personnage lui-même. A la quête de Rock s’ajoute alors celle de la romancière, qui nous fait découvrir un personnage fascinant.
Irène Frain est née en Bretagne en 1950. Tout d'abord professeur de lettres au lycée, puis à la Sorbonne, elle se consacre exclusivement à l'écriture depuis son roman Le Nabab (1982). Marquée par son origine bretonne, et par ailleurs passionnée par l’Asie, elle est l’auteure d’une vingtaine de livres.
14:37 Publié dans Bibliothèque des voix, Irène Frain | Lien permanent | Commentaires (0)