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21/07/2008

Alba sur Tasse de thé

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Bonjour Guilaine, "Alba, correspondance à une voix" d' Anne De Bascher sera sur Tasse de Thé à notre prochaine mise à jour :
http://www.tassedethe.com/cadres/souscadre/courts/bibliotheque.htm

Commentaires

Vous qui, comme moi, avez toujours jugé la gente féminine homosexuelle lourde, sans attrait, vulgaire du genre camionneuse, courrez vite chez votre libraire le plus proche acheter "ALBA, correspondance à une voix" d'Anne de BASCHER.

Toutes vos idées seront chamboulées quand vous découvrirez avec Roxane, Tante Millie, Zaskia, Salomé, Scilly et les autres : l'intelligence, la finesse d'esprit, le courage, l'humour, le goût et la beauté dans ce roman plein de poésie au style irréprochable dans lequel la romancière brosse des portraits féminins mais aussi masculins d'une force et d'un réalisme exceptionnel.

Écrit par : Nathan D + | 06/08/2008

DU PUR BONHEUR !

Voilà un livre qui ne peut laisser indifférent. De ceux qui contribuent à remuer les mentalités…
J’aurais aimé me couler entre chaque mot de chaque ligne, me glisser dans le papier pour rejoindre ces héroïnes (et héros) qui jalonnent ce roman empreint d’une subtilité recherchée.

D’un style châtié, la romancière nous peint un tableau de maître en nous dépeignant des femmes qui s’impliquent. Des femmes qui s’imposent et qui en imposent.
Les hommes ne sont pas en reste, il y a dans les passages relantant la guerre 39-45 des hommes généreux , attachants et téméraires.

Car tout au long de ce livre pour le moins captivant l’éloquence est là, et le déroulement de l’histoire nous apprend nombre de choses surprenantes. La trame de ce livre est forgée par des faits et gestes de personnages faisant preuve de courage, d’audace, de générosité, de tendresse ou forces et fragilités se mêlent . En résumé : des femmes d’une sacrée trempe ! Ce texte parfois fougueux est comme autant de notes égrenées conduisant à une superbe symphonie que l’écrivain-chef d’orchestre dirige avec brio.

Extrait :
« Le récital devait commencer par les Etudes de Chopin et dès les premières notes exécutées avec autant de précision que de délicatesse –sans l’ombre d’une mièvrerie- les battements de mon cœur s’accélérèrent en même temps que je ressentis dans tout mon être un trouble jamais éprouvé auparavant. Je n’écoutais plus la musique. Mon regard allait de ce beau profil aquilin aux longues mains fines qui couraient sur le clavier, alors que le buste demeurait parfaitement droit. J’étais sous le choc et ne fus pas la seule, car aux dernières notes des Etudes, les applaudissements furent tels que l’interprète fut rappelée à plusieurs reprises. »
-.-.-.-.-

J’ai plongé dans ce livre avec délice et quand, au point final, j’ai refait surface avec regret, j’étais littéralement subjuguée. Un bel ouvrage, bien construit.

Voici de quoi réaliser une jolie saga télévisée. A découvrir absolument.

Pour conclure en termes dithyrambiques : MAGISTRAL ! SUBLIME !

Écrit par : Inège | 11/08/2008

ENTRE VARGAS ET BASCHER, MON CŒUR BALANCE

Je suis un amateur inconditionnel de polars.
En allant acheter le dernier Fred VARGAS chez mon libraire, celui-ci m’a dit en me désignant le nouveau roman de Anne de BASCHER « ALBA, correspondance à une voix » : « Tiens, change un peu de registre. Tu verras, VARGAS comme BASCHER ont en commun une formation d’archéologue qui conduit sûrement à la précision, au goût du détail, aux histoires fouillées. L’une a donné dans le roman policier et l’autre dans le roman littéraire. Tu me diras ce que tu en penses ».
Bon, j’ai emporté les deux bouquins pour mes vacances et pour être honnête, j’ai commencé par VARGAS qui, pour une fois m’a déçu. Et pourtant, j’en pince pour ce qu’elle pond.

Puis, j’ai ouvert ALBA et, dès le prologue, vachement bien écrit, j’ai poursuivi ma lecture sans être déçu du long voyage. Quel tempérament aussi cette Anne de BASCHER que je ne connaissais pas encore. En plus, elle est plus que pas mal ; même si une belle gueule n’induit pas nécessairement un talent d’écrivain. Là, c’est coup double et je suis terrassé d’admiration, même si je n’ai aucune chance de la séduire, si j’ai bien compris.

Ce qui m’a tout de suite frappé, c’est que si VARGAS et BASCHER ont en commun d’avoir fait des études d’archéologie, BASCHER aime les femmes qui sortent des clichés conventionnels et des fantasmes masculins. Ses héroïnes incarnent un esprit généreux, inspiré et battant, sans être anti mecs. Et c’est là où elles sont fortes. Elles me laissent vraiment pantelant, béat sur le seuil d’un univers fascinant qui est le leur, tout en étant un appel à un monde meilleur, qui n’est pas celui d’Aldous HUXLEY.

Merci à mon libraire pour m’avoir fait découvrir BASCHER. Elle a une sacrée plume et des convictions. Je ne vais pas déserter VARGAS pour autant, mais je me dis en comparant les pointures de ces deux romancières que BASCHER va plus loin dans son registre : elle veut changer notre monde misogyne et sa consoeur, nous en distraire.

Écrit par : MARC ( 40ans) | 23/08/2008

LES GRINCHEUX NE DERANGENT QU’EUX-MEMES

Je remercie Anne de BASCHER de m’avoir enchantée avec son roman « ALBA, correspondance à une voix ».

Je précise que je lis beaucoup mais que cet ouvrage très bien ficelé, avec des expressions toujours bien choisies et percutantes, reste gravé en moi comme un précieux talisman et une flamme que j’aimerais transmettre moi-même à ‘‘mes semblables’’.

Qu’ALBA suscite des réactions grincheuses ne dérange que les irréductibles grincheux, ce dont je me contrefiche, mais pas pour la romancière qui, contrairement à son ou ses détracteurs anonymes, s’expose totalement par ses écrits et interviews, elle. A bon entendeur salut !

J’encourage donc les malotrus et autres pisse-froid à se lancer eux-mêmes dans une entreprise romanesque de l’envergure et de la qualité d’ALBA pour que l’on vous guette au tournant ; si tant est que vous soyez publiés.

En attendant, si la majorité des femmes ressemblaient aux héroïnes d’ALBA et si les hommes rappelaient la si belle figure d’Hélie ou le touchant Léon, autres personnages du roman, notre monde sinistre et gris prendrait d’autres couleurs.

Alors, Anne de BASCHER, continuez à nous faire rêver à ce monde où tous les êtres se respecteraient et rivaliseraient d’ingéniosité, de générosité et d’humour dans ce but.

Écrit par : Christine | 08/09/2008

L'AMOUR COURTOIS, LA FIEVRE EN PLUS !

Si c’est ça l’amour entre femmes tel que le décrit Anne de BASCHER dans son très beau livre « ALBA, correspondance à une voix », alors moi, l’hétéro qui se croyait incorrigible, vais sûrement me convertir pour ne pas mourir idiote !

Je ne plaisante pas du tout. J’ai été plus que touchée par les liens amoureux entre Roxane et Salomé, puis entre l’héroïne et Scilly, ce deuxième amour venant après un drame qui m’a fait pleurer.

Ce qui m’a particulièrement plu c’est, qu’ici, le désir que l’on sent très fort de part et d’autre, est indissociable des sentiments, ce qui me manque cruellement. J’en veux à mes amants de me réduire à un objet sexuel, de ne pas s’impliquer sentimentalement, d’avoir peur de s’attacher, d’assouvir leur envie sans les précéder et les suivre d’attentions.

Là, dans le roman de Anne de BASCHER, c’est tout le contraire : L’amour courtois, la fièvre en plus. Et quelle fièvre ! Délicate et forte, raffinée et animale, subtile et inventive, et, surtout, suggestive. Rien à voir avec d’autres livres sur le même sujet, que j’avais trouvés trop mièvres ou trop crus et qui n’avaient éveillé en moi qu’une curiosité déçue.

Bref, ces demoiselles d’ALBA, aux grâces et dons multiples m’ont chavirée et je comprends mieux pourquoi certaines de mes copines ont déjà viré leur cuti -sans retour-.

Écrit par : Inès | 11/09/2008

ON NE NAIT PAS FEMINISTE. ON LE DEVIENT AVEC ALBA !

Enfin un excellent roman féministe, « ALBA, correspondance à une voix », incarné par des femmes qui balaient tous les clichés ou caricatures conventionnelles. Autrement dit, nostalgiques de l’éternel féminin - genre poupée Barbie ou Nadine de Rothschild-, s’abstenir !

Quel bonheur de découvrir des héroïnes d’une envergure telle que l’on aimerait les rencontrer en vrai et les avoir pour amies. Difficile de se plonger dans un autre livre après cette saga de Anne de BASCHER, tant Roxane, Alba, Tante Millie, Zaskia, Salomé, Scilly, nous émeuvent, nous captivent, nous font rire. Elles tiennent là le haut du pavé (ouf !) sans être pour autant androphobes.

Beaucoup d’hommes devraient être aussi séduits par les figures masculines d’Hélie, Constantin, Léon, Pepe, Arnolfo.

En refermant ALBA, correspondance à une voix, j’ai formé le souhait que notre monde reflète l’univers du roman.

Merci Anne de BASCHER de tenir le cap féministe après votre premier et très beau récit, DILEMMA.

Écrit par : Rachel | 19/09/2008

C'EST UN NANAN !

Ah que dire de ce livre, de ce chef d’œuvre plutôt !
Un roman qu’on voudrait déguster mot à mot mais on n’y arrive pas, l’histoire est tellement prenante qu’on ne peut s’arrêter ………..
J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce livre et je tire mon chapeau à cette romancière qui a su nous faire apprécier son ouvrage plein de charme.
Enfin une belle littérature pour les femmes, sans voyeurisme et que je relirais avec le même enthousiasme car c’est pour moi un vrai coup de foudre (et coup de cœur).
J’ai passé de bons moments avec tante Millie ,Hélie ,Pépé ,Electre ,Constantin .Même Gipsy la jument tient une place énorme dans ce roman.
Pas un personnage n’est de trop et ils sont tous aussi attachants les uns que les autres, même ceux que l’on ne rencontre qu’un bref instant, pour ne les retrouver que bien plus loin dans le récit.
Alors, oui, lisez ou plutôt dégustez, prenez le temps de savourer ce roman……..

Écrit par : Bérénice | 24/12/2008

ALBA, un livre qui arrive à point nommé.

J’avais beaucoup aimé la saga « Bicyclette bleue » de Régine Desgorges à deux réserves près dont la banalité expéditive des étreintes amoureuses de l’héroïne qui par ailleurs sert un peu trop l’égo de madame Desforges.
Mais voilà, je viens de découvrir une autre saga, ALBA correspondance à une voix, de Anne de BASCHER qui en un seul ouvrage, certes volumineux, a fait pâlir mes entichements littéraires et les a même envoyés ad patres.
Je suis extrêmement heureuse d’avoir découvert une romancière que je ne connaissais pas encore et dont j’espère que le talent époustouflant va lui apporter une très large reconnaissance littéraire. Sa saga tout à fait moderne et audacieuse, elle, arrive à point nommé dans notre monde où le machisme perdure même. Que ces messieurs arrogants dominateurs voire odieux et violents fassent l’effort de lire ALBA. Ce livre leur apprendra à découvrir d’autre figures féminines aux atouts qui sont tout sauf éculés. Les plus malins comprendront peut-être face aux héroïnes d’ALBA, des ravageuses d’un autre ordre que la libération des femmes peut bouleverser nos mœurs, notre vie et notre monde, pour le meilleur. Elle ne se fera pas sans casse dans les couples mais cela vaudra mieux que de s’entendre dire après usage : « Casse-toi ! ».

Écrit par : Chantal | 09/01/2009

ALBA correspondance à une voix : un livre qui surpasse à lui seul la dernière rentrée littéraire.

Quelle rentrée littéraire décevante, ennuyeuse, indigente !
Je n’ai pas tout lu, bien sûr, mais suffisamment pour que chaque bouquin me tombe des mains !

Pour me requinquer en pensant qu’il existe encore des livres écrits en français (cette si belle langue), j’ai relu « ALBA, correspondance à une voix » de Anne de BASCHER, avec un plaisir, une jubilation, un intérêt encore plus vifs quà la première lecture.

Mon sentiment est définitif : publié avant la rentrée littéraire, ALBA surpasse à lui seul cette dernière. Quelle belle plume, quelle intensité dans chaque phrase, quelle profondeur des sentiments qui animent les héroïnes trop belles, trop intelligentes, trop spirituelles pour être vraies ! Et pourtant je me suis reconnue en elles qui m’apparaissent représenter un avenir féminin ô combien plus exaltant que ce que l’on a connu jusque-là.

Puissent-elles être incarnées en vrai pour que le monde que reflète la dernière et désastreuse rentrée littéraire appartienne vite à une histoire révolue et dont ALBA tourne allègrement la page. C’est cet ouvrage très bien tourné, original et enlevé qui méritait à mes yeux tous les suffrages.

Mais je ne m’inquiète pas : l’on se souviendra encore d’ALBA quand les livres qui auront subi les feux de la rampe sentiront le roussi ; s’ils ne sont déjà oubliés !

Écrit par : CLARA R. | 09/01/2009

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