13/06/2009
Soirée "Renversements" mardi 16 juin à 19 h. présence de Jean-Joseph Goux et peut-être d'Antoinette Fouque
Mardi 16 juin, sur l'idée d'Antoinette Fouque, son éditrice, Jean-Joseph Goux rencontrera ses lecteurs à l'Espace des femmes (35 rue Jacob 75006 Paris). La soirée portant essentiellement sur Mai 68 - le thème de "Renversements" (notre nouveauté philo) - commencera à 19 h. Venez nombreux...!
01:03 Publié dans Jean-Joseph Goux, Psychanalyse, Soirées à l'Espace des femmes | Lien permanent | Commentaires (0)
09/05/2009
L'hystérie masculine mise à l'honneur par Michel Cazenave sur France Culture ("Les Vivants et les Dieux")
le samedi de 23h à minuit |
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émission du samedi 9 mai 2009 Platon, la folie et la poésie |
Traditionnellement, on nous présente Platon comme le père du rationalisme occidental. Ce qu'il est certainement, à condition d'apporter de sérieuses retouches à ce portrait. Dans le dialogue du Phèdre, Platon fait en effet l'apologie de la folie comme l'un des bienfaits de l'humanité et, dans le dialogue du Ion, il explique que, par-delà le rhapsode, le vrai poète inspiré est celui qui est possédé par les muses, autrement dit, plongé dans la folie poétique. C'est tout ce Platon, inconnu jusqu'aux études de E.R. Dodds et de Georgio Colli, et avant une relecture de style heideggerien, que nous allons tenter de redécouvrir ici. Avec Jean Lauxerois, professeur de philosophie en classe préparatoire aux Grandes Écoles. |
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17:36 Publié dans Françoise Barret-Ducrocq, Juliet Mitchell, Psychanalyse | Lien permanent | Commentaires (0)
23/04/2009
Soirée Roger Dadoun (poésie & psychanalyse & philosophie), mardi 28 avril à 18 h 30 : venez nombreux !!
BIENVENUE A LA SOIREE DU MARDI 28 AVRIL, OU ROGER DADOUN SAURA VOUS ENCHANTER... (rendez-vous à 18 h 30 au 35 rue Jacob)
POESIE POUR POETES DE ROGER DADOUN
DES FEMMES / DES POÈTES
RENCONTRE-LECTURES
Mardi 28 avril 2009, à 18h.30 Espace des Femmes
ROGER DADOUN, philosophe, psychanalyste,
lira des extraits de ses poèmes :
Ouverture
Parade ISIAQUE pour la TRENTENAIRE
(poème publié dans le recueil depuis trente ans, des femmes éditent - 1974-2004) :
p.168-171. Le mouvement des femmes, légendaire (devant être lu) à l’ombre d’Isis créatrice.
1. Où N’ ÊTRE se célèbre
(De la Raison ironique, des femmes Antoinette Fouque)
p.23-27. De la condition humaine entre naître et n’être.
2. Exactitude mammaire – JUNG, FREUD, GRODDECK
(De la Raison ironique)
p. 161-167. Trois directions, et tirages, de la psychanalyse, entre corps et mystique.
3. pour Antonin ARTAUD
Le cru et la cuite, Le Momo en Tarahumara
(Europe, p. 63-72). Le cri et l’accro en la cruauté du poète.
4. pour Pier Paolo PASOLINI
Jeter son corps dans la lutte
(De la Raison ironique)
p. 181-186. Fin d’une « Chronique judiciaire : persécution, exécution » : le poète au corps massacré par la GénItalie.
5. pour Robert DESNOS
Langage dur à cuire
(Les Dits d’Eros, Via Valeriano, Marseille, p.69-76). Pour le poète surréaliste, alchimiste du Langage cuit, mort déporté à Teresin.
6. pour Henri MICHAUX
Ecoute, petit homme-trou
(Henri Michaux, Le corps de la pensée, Farrago)
p. 119-130. La saga d’homo erectus-sapiens
7. Tortue au visage d’EROS
(Les Dits d’Eros, Via Valeriano, Marseille)
p. 45-49. Achille et la Chélonienne de Zénon d’Elée : quand le lent et le vite s’opposent ventre à terre.
8. Nuits sans NUIT
(De la Raison ironique)
p.40-42. « O nuit, mère aux yeux noirs, mère universelle » (Péguy) – nuit procréatrice d’humanité.
Finale
Gravidité, Gravité, GRÂCE
(Penser avec Antoinette Fouque, Des femmes)
p.68-69. En finale, pour une neuve ouverture, en « gravidanse ».
Principales références
Aux éditions des femmes Antoinette Fouque :
De la Raison ironique, 1988.
Penser avec Antoinette Fouque (coll.), « Gravidité, Gravité, Grâce », 2008.
Depuis trente ans / des femmes éditent, Mémoire de femmes, 1974-2004 (coll.), 2004, « Parade isiaque pour la trentenaire ».
Autres éditeurs :
La télé enchaînée, Pour une psychanalyse politique de l’image, Homnisphères, 2008, 352 p.
L’homme aux limites, Essais de psychologie quotidienne, Homnisphères, 2008, 288 p.
Paolo Uccello/Valentin Tereshenko, Spirali, Milan, 2007, édition trilingue,280 p.,130 ill.
Eloge de l’intolérance, La révolte et le siècle, 1905-2005, Punctum, nov.2006.
Manifeste pour une vieillesse ardente, Zulma, 2005, 170 p.
L’érotisme, « Que sais-je ? », PUF, n°3637, 2003, 128 p.
L’Ile des Morts, de Böcklin, Séguier, 2002, 4 ill., 74 p.
Marcel Duchamp/Enzo Nasso, Spirali/Vel, Milan, 2000, édition trilingue, 194 p. 80 ill.
Cinéma, Psychanalyse & Politique, Séguier, 2000, 368 p.
King Kong, Carré Ciné, Séguier, 1999, précédé de “Kong et le Kosovo”, 64 p.
Poèmes en forme de noeuds, suivis de dix haïkus un peu dénoués, Paris, 1998, 54 p.
Cent fleurs pour W. Reich, nouvelle édition, Payot, 1998, 412 p.
Duchamp, Ce Mécano qui Met à Nu, Hachette, sept.1996, réédit. 2006,142 p.
Allah recherche l’autan perdu, (Le Poulpe) Baleine, 1996, 210 p.
La psychanalyse politique, “Que sais-je?” n°2948, P.U.F., 1995, 128 p.
Psychanalysis entre chien et loup, Imago, 1984.
Les Dits d’Éros, poèmes, éd.Via Valeriano, Marseille, 1994, 90 p.
Freud, nouvelle édition augmentée, Belfond, 1992, 384 p.
Éros de Péguy, la guerre, l’écriture, la durée, P.U.F., sept.1988, 230 p.
Ruptures sur Henri Michaux (dir.) Payot, 1976, 260 p.
Geza Roheim et l’essor de l’anthropologie psychanalytique, Payot, 1972, 320 p.
La folie politique (dir.), Payot 1972, 230 p.
(Ouvrages, pour la plupart, à la Librairie Des Femmes)
20:29 Publié dans Poésie, Psychanalyse, Roger Dadoun, Soirées à l'Espace des femmes | Lien permanent | Commentaires (0)
07/04/2009
Tout simplement RENVERSANT ! Jean-Joseph Goux 2009 ("Renversements", nouveauté philosophie papier)
"Il devient clair aujourd'hui, avec le recul historique nécessaire, qu'il n'est guère d'aspect de la vie contemporaine, personnelle ou publique, qui n'ait été marqué par les idées, les projets, les innovations qui ont fait irruption à la fin des années soixante, en des temps de surchauffe philosophique et politique dont Mai 68 a été le moment volcanique. Ce fut une époque de contestations et de ruptures profondes, d'où sonty sortis des projets culturels et politiques qui n'ont cessé depuis, en tout sens, de développer leurs conséquences. Le mouvement des femmes, la sensibilité écologique, sans parler de tout ce qui atteste d'un changement dans les rapports interpersonnels, en sont les fruits les plus incontestés.
Les essais rassemblés dans ce volume sont indossociables de ce grand mouvement qui a secoué les sociétés occidentales il y a maintenant quarante ans et qui a transformé en profondeur les mentalités et les moeurs".
J.-J. G.
Jean-Joseph Goux est philosophe et actuellement professeur à l'Université de Rice (USA). Il a été directeur de programme au Collège International de philosophie et professeur associé à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Il a publié de nombreux ouvrages parmi lesquels Economique et symbolique (Seuil, 1973), Les Iconoclastes (Seuil, 1976), Oedipe philosophe (Aubier, 1990), Accrochages (Des femmes, 2007).
Couverture : Giulio Romano, La chute des Géants (détail)
11:56 Publié dans Jean-Joseph Goux, Psychanalyse | Lien permanent | Commentaires (0)
16/01/2009
Le lien des femmes entre elles : conversation entre Madeleine Chapsal et Marie-France Hirigoyen, Mardi 20 janvier, 18 h 30, 35 rue Jacob
L'Espace des Femmes-Antoinette Fouque (35 rue Jacob, 75006) vous invite à rencontrer,
mardi 20 janvier, à 18h30,
Madeleine Chapsal, écrivain
"Méfiez-vous des jeunes filles" (Fayard, 2008)
" Un ruisseau de lumière ! ", s'émeut Fanny, cinquante ans, face à Marie-Claire, dix-huit ans, qu'elle n'a pas revue depuis des années.
La jeune fille vient de perdre ses parents et Fanny, sa marraine, décide de la recueillir chez elle. Mais la bienveillante Fanny ne mesure pas le danger ! Car il y a des hommes à la maison : Paul son fils, Julien le fiancé de sa fille, et Alain son mari. Qui pourrait résister à une jeune fille aussi désirable lorsque, le cœur froid, elle joue à séduire et à susciter la jalousie, bien décidée à se venger sur ceux qui l'approchent de la tragédie qu'est pour elle la mort de son père ? Fanny, naïve et jusque-là heureuse en ménage, s'aperçoit un peu tard de ce drame familial qui couve.
Un roman rose et noir sur les dangers de l'amour.
"La femme sans" (Lgf, 1993)
Un essai sans vraiment de plan, rempli d'humeurs variées, de contradictions aussi entre avantages de la liberté d'être entièrement disponible pour ses amours et difficultés de vivre avec le regard distancié des femmes (et hommes) "avec". Beaucoup d'interrogations, d'expressions de sentiments doux ou amers, qui devraient aider ceux et celles qui en ont eu (des enfants) comme ceux et celles qui n'en ont pas eu à se rapprocher, à s'estimer, à se soutenir quand il le faut, à se comprendre aussi. Madeleine Chapsal a un style très personnel et son ouvrage relève plus de l'essai que du roman, s'agissant ici de choses vécues comme "femme sans", ainsi que dans nombre de ses autres titres.
"Ce que m'a appris Françoise Dolto" (Fayard, 1994)
et Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste
"Les nouvelles solitudes" (La Découverte, 2007)
Dans toutes les sociétés développées, la montée de la solitude est devenue un phénomène social majeur. Alors que les interactions entre individus sont permanentes, voire envahissantes, de nombreuses personnes éprouvent un sentiment douloureux d'isolement. Et, en même temps, beaucoup d'autres font le choix de vivre seules. Dans ce livre, la psychanalyste Marie-France Hirigoyen désire montrer que cette réalité est le fruit d'une mutation profonde des rapports hommes/femmes, encore inaboutie. Si les femmes ont enfin obtenu une autonomie nouvelle, dans le travail comme dans la sexualité, cette indépendance n'a pas été encore pleinement intégrée dans les mentalités. D'où une crise des rôles masculin et féminin et une précarisation des liens intimes. On constate un durcissement des relations dans le couple. Reflet aussi du durcissement du monde du travail. Et le surinvestissement dans la relation amoureuse s'accompagne d'une pratique croissante du 'couple en CDD'. Les périodes de solitude et d'abstinence sexuelle conduisent à un recours accru aux sites de rencontres sur Internet ou aux 'nouvelles thérapies', qui se révèlent le plus souvent illusoires. Alors que, explique Marie-France Hirigoyen, la solitude peut apporter énergie et inspiration : à tout âge, la solitude choisie, tout en restant disponible à l'autre, est une source de plénitude, un moyen de sortir de la superficialité d'une société dominée par le narcissisme et le culte de la performance.
"Femmes sous emprise" (Oh éditions et Pocket, 2005)
En France, chaque année, une femme sur dix est victime de violence dans son couple, trois femmes en meurent tous les quinze jours.
qui dialogueront sur le thème "Le lien des femmes entres elles"
35 rue Jacob
75006 Paris
03/07/2008
Texte de Claudie Cachard témoigne sur son expérience dans le catalogue des trente ans des éditions Des femmes
16:36 Publié dans Claudie Cachard, Psychanalyse | Lien permanent | Commentaires (0)
01/07/2008
Toute une page sur Sophie Freud (par Alain Rubens, Lire de juillet-août 2008)
L'EPOUSE HYSTERIQUE
Petite-fille du psychanalyste, Sophie Freud livre ses souvenirs familiaux.
"A mes yeux, Hitler et Freud sont les deux faux prophètes du XXème siècle." D'où surgit l'outrageant, le blasphématoire parallèle ? De la bouche de Sophie Freud, la petite-fille du maître, une dame alerte de 84 ans, professeur émérite de psychosociologie au Simmons College de Boston. "Oui, j'ai dit cela, il y a quelques années." Pourtant son livre, passionnante autobiographie croisée d'elle et de sa mère, est plein de vénération pour son grand-père.
Vienne, mai 1938. Freud, sommité de 82 ans, est contraint à l'exil. Sur le chemin de Londres, il passe à Paris une unique soirée dans l'hôtel particulier de la princesse Marie Bonaparte. Sophie Freud se souvient : "Quand il est passé par Paris, on est allées à la gare Saint-Lazare. Il y avait Anna sa fille, sa femme et d'autres personnes. J'étais venue lui dire adieu et j'étais triste à pleurer à la pensée de lui dire, définitivement, adieu. C'est vrai, ils ont passé cette fameuse nuit chez la princesse Marie Bonaparte. Ma mère et moi, n'avons pas été invitées." A Vienne, la collégienne mena une existence paisible au rituel immuable : "Je venais le voir chaque dimanche. Un brin de conversation et il me donnait de l'argent, huit schillings exactement, que je dépensais pour aller au Burgtheater. J'avais des sentiments mélangés. Il n'avait pas à me payer pour que j'aille le voir. C'était un honneur pour moi. Il était considéré par toute la famille comme un être supérieur. Formel, un peu distant, peu de mots. Il souffrait de son cancer du palais, si bien qu'il parlait peu. Il m'accordait, dans son cabinet, un petit quart d'heure hebdomadaire, ça faisait de moi une princesse !" Une princesse qui ne sera jamais invitée à un seul repas familial. Car la hantise des Freud, c'est sa mère Esti Drucker (1896-1980), l'épouse de Martin Freud, le fils aîné, juriste et banquier, qui finira buraliste près du British Museum. Un mariage qui vire au désastre. Esti, l'hystérique patentée, est prompte à l'éclat, au coup de colère, à la meurtrissure permanente. Volontariste et dépressive, intelligente et violemment affective, cherchant noise et querelle à la terre entière, Esti, dotée d'une inflexible indépendance, deviendra une orthophoniste reconnue aux Etats-Unis. D'emblée, le professeur avait flairé la faille. Dans une lettre du 14 mai 1938, Freud écrit à son autre fils Ernst : "Elle n'est pas seulement meschugge, mais aussi folle au sens pathologique." Une folie à couper au couteau, et Sophie de préciser : "Il en faisait l'unique responsable du mauvais mariage de son fils Martin. C'était bien dans l'air de ces temps viennois. Mais un mariage est toujours une partie qui se joue à deux."
Esti Drucker, épouse de Martin Freud : sa fille Sophie en brosse l'autoportrait.
CETTE HERITIERE NE S'EST JAMAIS EMBARRASSEE DU LEGS FREUDIEN
En mai 1938, Sophie et sa mère se réfugient en France. "A Paris, nous dit-elle, j'étais élève au lycée La Fontaine. J'ai commencé à lire les Cinq psychanalyses. Je les lisais comme des histoires faciles, des nouvelles. D'ailleurs si mon grand-père a reçu le Prix Goethe, c'était plus pour ses magnifiques qualités littéraires que scientifiques."
1940, la débâcle. Esti et sa fille traversent la France en bicyclette. Une fois en Afrique du Nord, elles embarquent de Casablanca, au prix d'une odyssée hallucinante, pour New-York.
Sophie Freud n'a pas entrepris d'analyse. D'ailleurs, cette héritière ne s'est jamais embarrassée du legs freudien. "Je suis très sceptique sur la psychanalyse, explique t-elle. Freud n'a jamais été un pionnier avec les femmes. Il était un enfant de son temps et ne savait rien de la sexualité féminine. Il n'était pas misogyne mais la femme était pour lui une espèce à part, comme les singes. C'est ce fameux "continent noir" dont il parle, une moitié d'humanité au service de l'homme. Même son épouse Martha lui préparait, la veille, ses vêtements et son mouchoir."
Et le transfert dans tout ça ? "Il est normal qu'une femme tombe amoureuse de son thérapeute. Mais c'est très grave, car des femmes souffrent de cet amour sans réciprocité. J'ai vu des femmes entamer une analyse pour les soulager de la dernière. FRinalement, il a donné un nom scientifique à un sentiment normal, l'amour. L'envie du pénis ? Absurde ! Pourquoi Freud pensait-il que chaque femme ou jeune fille désirait un pénis ? C'est l'idée d'un enfant de trois ans. Le sexe n'est pas essentiel. Beaucoup de femmes ont une vie satisfaisante sans sexualité. Aux Etats-Unis, la psychanalyse est en chute libre."
Aujourd'hui, elle vante la Reading Cure, la thérapie par la lecture : "Sans la lecture, je perdrais tout plaisir de vivre. A ma mort, mon épitaphe devrait indiquer mes quelques trois mille livres préférés. Je voudrais lire tout Proust dans le texte. Mon prochain cours sera consacré aux fils qui écrivent sur leurs pères. Je commencerai par la Lettre au père de Kafka. Puis, ce livre de haine rédigé par Niklas Frank, le bourreau nazi de la Pologne occupée. Enfin, un livre d'amour, Patrimoine. Une histoire vraie, l'autobiographie de Philip Roth."Cette Freud n'est décidément pas très freudienne.
Alain Rubens
Toronto Star du 16.11.2003
Ce mot yiddish, plutôt affectueux, signifie "fantaisiste, exubérant"
A l'ombre de la famille Freud par Sophie freud, traduction de l'allemand et préface de Nicole Casanova, 538 p., Des femmes-Antoinette Fouque, 27 E
14:55 Publié dans Psychanalyse, Sophie Freud | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2008
Mardi 10 juin, dès 18h30, Soirée Juliet Mitchell & Françoise Barret-Ducrocq
Nouveauté aux éditions Des femmes-Antoinette Fouque :
Frères et sœurs. Sur la piste de l’hystérie masculine Juliet Mitchell
Collection « La psychanalyste »
Traduit de l’anglais par Françoise Barret-Ducrocq.
ISBN : 978-2-7210-0521-2
Format 15 x 22 cm – 528 pages - 25€
Office 02/05/2008
Le livre traite avec une très grande érudition puisée dans l'anthropologie, la psychanalyse et les grands mythes de la littérature occidentale, de l'histoire universelle de l'hystérie. Cette analyse amène l'auteure a reconsidérer de façon radicale la construction du psychisme telle qu'elle a été présentée jusqu'ici, à proposer une lecture différente du complexe d'Œdipe et à affirmer la nécessité de prendre en compte les relations horizontales entre celles et ceux qui se trouvent en situation de frères et sœurs – qu'il existe ou non un lien biologique entre eux.
Juliet Mitchell ne propose à aucun moment de substituer cet axe horizontal à l'axe vertical, mais souhaite prendre conjointement en compte ces deux axes, dont la mise en relation ouvre de nouvelles perspectives.... En démontrant le caractère universellement possible de l'hystérie, elle réhabilite un diagnostic qui permet de mieux comprendre, non seulement certains dysfonctionnements du psychisme humain, mais aussi la relation entre pairs.
Juliet Mitchell, née en 1940 en Nouvelle-Zélande, a participé à la fondation du Women's Liberation Movement et a été coéditrice de la New Left Revue anglaise. Psychanalyste et universitaire, elle est professeure à Cambridge (Grande-Bretagne), où elle enseigne sur le thème « Genre et société ». Elle a publié de nombreux ouvrages, traduits dans plusieurs langues, dont L'Âge de la femme et le best-seller Psychanalyse et Féminisme, parue en langue française, aux Editions Des femmes -Antoinette Fouque.
Françoise Barret-Ducrocq est agrégée d’anglais, docteure d’Etat, professeure à l’Université de Paris 7-Denis Diderot. Elle est secrétaire générale depuis 1992 de l’Académie universelle des cultures. Elle est l’auteure de nombreux ouvrages en France, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Elle a traduit aux éditions Des femmes-Antoinette Fouque, Psychanalyse et féminisme de Juliet Mitchell ainsi que Conscience de femmes, monde de l’homme de Sheila Rowbotham.
14/05/2008
Ne ratez pas Sophie Freud ! En France pour 24 heures seulement !! (soirée le 14 mai, 18h30)
A l’ombre de la famille Freud
Sophie Freud
En espérant que les nombreux ponts du mois de mai vous donnent l’occasion de profiter de tous les petits bonheurs de l’existence dont la dévorante vie professionnelle ne vous laisse pas le loisir, je me manifeste discrètement, par un petit émile, pour vous faire part du séjour de 24 heures à Paris (elle vit aux Etats-Unis) de Sophie Freud…. (24 heures chrono du mercredi 14 mai, 16 h top départ au jeudi 15 mai, 16 h ligne d’arrivée !!) Être réactif(ve) ! Ne pas la louper ! L’occasion de rencontrer une descendante directe du grand Sigmund (fille de son second fils - Martin Freud - avec son épouse Esti)
FREUD... Un nom qui invite à rêver…. Et une suggestion de son attachée de presse aux éditions Des femmes pour éventuellement vous mettre en contact avec elle pour toute idée médiatique… En plus, sa photo (ci-jointe, ainsi que l’argumentaire de son livre à paraître aux éditions Des femmes le 22 mai), avec ce sourire si humain, ce rayonnement absolu, devrait vous rassurer sur sa personnalité, et vous désinhiber face à une aussi grande dame ! N’hésitez donc pas à m’appeler de toute urgence pour toute interview d’elle ! 06.84.36.31.85
Par ailleurs, pour les non-journalistes, qu’ils soient pleinement rassurés : ils pourront également « voir » et entendre Sophie Freud, ce mercredi 14 mai, de 18h30 à 21h30 lors d’une soirée organisée en son honneur par Antoinette Fouque dans son Espace des Femmes (35 rue Jacob, Paris 6ème, métro Saint-Germain-des-Prés, bus 63, vélib rue Saint-Benoit). Merci, par avance, de votre présence – et de faire circuler l’information sur ce qui EST un événement autant dans le domaine de la psychanalyse (fatalement, bien que « A l’ombre de la famille Freud », notre nouveauté éditoriale, ne soit en rien un ouvrage de psy) que dans ceux de l’histoire du XXème siècle et des femmes.)
17:20 Publié dans Psychanalyse, Soirées à l'Espace des femmes, Sophie Freud | Lien permanent | Commentaires (0)
06/05/2008
Roger Dadoun célèbre les femmes !
16:25 Publié dans Philosophie, Poésie, Psychanalyse, Roger Dadoun | Lien permanent | Commentaires (0)