21/11/2007
La Jeune fille et l'enfant de Marguerite Duras, lu par elle-même (Bibliothèque des Voix)
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08/09/2007
Quand Duras nous parle (Charente Libre du 8.09.07)
Quand Duras nous parle
Un homme paye une femme pour la faire venir chez lui chaque nuit. Il veut connaître un corps féminin, essayer de l'approcher, de l'aimer. Il n'a jamais aimé aucune femme. Est-ce pour cela que la femme le dit atteint de la "maladie de la mort" ? Il regarde dormir la femme, puis apprend, doucement, à la toucher, à la caresser.
Enoncé au présent par une "voix" qui s'adresse à l'homme, qui le raconte à lui-même, ce récit met en scène le désir, ou son absence, l'impuissance de l'homme et de la femme à se rejoindre, l'amour perdu "avant qu'il soit advenu".
Marguerite Duras souhaitait que l'histoire soit lue par un homme. CE texte fut notamment interprété par Michel Piccoli, puis par Gérard Desarthe. Pour cette mise en scène au théâtre de La Madeleine, Bérangère Bonvoisin a choisi de faire dire ce texte à Fanny Ardant, donnant une nouvelle dimension à ce texte : car c'est désormais une femme qui décrit le regard d'un homme sur une autre femme, et cette lecture féminine introduit un nouveau terme dans l'équation complexe du désir.
"La maladie de la mort", de Marguerite Duras, lu par Fanny Ardant lors du spectacle mis en scène au théâtre de La Madeleine à Paris par Bérangère Bonvoisin du 6 juin au 9 juillet 2006, éd. Des femmes, 18 e
21:30 Publié dans Bibliothèque des voix, Fanny Ardant, Marguerite Duras | Lien permanent | Commentaires (0)
19/10/2006
"La maladie de la mort" de Marguerite Duras, lu par Fanny Ardant
Lu par Fanny Ardant
Enregistrement du spectacle mis en scène au théâtre de la Madeleine à Paris par Bérangère Bonvoisin du 6 juin au 9 juillet 2006.
Office 19/10/2006
Un homme paye une femme pour la faire venir chez lui chaque nuit. Il veut connaître un corps féminin, essayer de l’approcher, de l’aimer. Il n’a jamais aimé aucune femme. Est-ce pour cela que la femme le dit atteint de la « maladie de la mort » ? Il regarde dormir la femme, puis apprend, doucement, à la toucher, à la caresser.
Énoncé au présent par une « voix » qui s’adresse à l’homme, qui le raconte à lui-même, ce récit met en scène le désir, ou son absence, l’impuissance de l’homme et de la femme à se rejoindre, l’amour perdu « avant qu’il soit advenu ».
Marguerite Duras souhaitait que l’histoire soit lue par un homme. Ce texte fut notamment interprété par Michel Piccoli puis par Gérard Desarthe. Pour cette mise en scène au théâtre de la Madeleine, Bérangère Bonvoisin a choisi de faire dire ce texte à Fanny Ardant, donnant une nouvelle dimension à ce texte : car c’est désormais une femme qui décrit le regard d’un homme sur une autre femme, et cette lecture féminine introduit un nouveau terme dans l’équation complexe du désir.
Mise en scène de Bérangère Bonvoisin
Création : Théâtre de la Madeleine 2006
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